Deux semaines plus tard
Certains pourraient peut-être penser que depuis le dernier article, j'ai été trop occupée à suivre une campagne politique, un débat, des dizaines centaines de sondages et que je reviens afin de constater que nous avons un nouveau président.
Mais non, je reste fidèle à moi-même, je n'ai encore pas réussi cette fois-ci à accorder d'intérêt particulier pour tout ça.
Ces quinze derniers jours, j'ai simplement patiemment attendu que le temps passe et qu'arrive enfin le mois de mai, annonciateur du renouveau, du printemps -du vrai- mais j'ai observé avec dépit que la belle saison et muguet du patio étaient en retard cette année. A défaut, je songe donc au chouette mois de Novembre que nous devrions avoir, si tout va bien ! Non mais oh !
On a tout de même réussi à faire le premier barbecue de la saison, entre amis, avec apéritif et déjeuner grand luxe sur la terrasse ! Alors que la nuit d'avant, un fort vent couchait une dizaine d'arbres dans le parc du couvent...
Je me suis tout de même amusée de cette météo, au final, en écoutant la radio annoncer une journée particulièrement ensoleillée dans la région lyonnaise, alors qu'au même moment, je traversais le brouillard pour arriver au travail:
Et quelques heures plus tard, un rendez-vous me faisait venir à Lyon et définitivement retrouver le sourire !
Dans ces quinze derniers jours, j'ai aussi fait un petit détour par la Mer Morte et ses sels purifiants le temps d'un soin en institut, cadeau de Noël (2010) que j'ai enfin réussi à insérer dans mon planning ! Une bonne heure dans le calme et le silence d'une petite pièce éclairée à la bougie, avec un gommage au miel (une bonne douche massante) et un effleurage à l'huile d'amandes douces. C'est encore une fois passé trop vite...
J'étais ainsi prête et pimpante pour assister le soir à la B-side party d'Isa, soirée d'anniversaire dont le thème était les vêtements trop peu portés (soldes regrettés, fringues préférées d'adolescents etc.) Matthieu a dignement revêtu son costume de mariage (qui n'est ni regretté, ni démodé, hein !) alors que je me suis contentée de mes chaussures du jour J et d'une petite robe complètement sixties de ma maman que j'adore (la robe, mais ma mère aussi !) sans trop oser la mettre... Nous avions aussi deux accessoires vivants que nous sortons rarement en société mais qui ont fait l'unanimité avec leurs petites voix haut perchées et leurs histoires à raconter !
Cet article est encore une fois un peu décousu, ce qui, j'espère, ne sera pas trop assorti au prochain billet en vue avec les résultats de mes premiers cours de couture...
Je fais comme je peux !