vacances 2018: Le Pays Basque espagnol (vol.6)
Volume 6 ...et clap de fin! On a salué bien bas nos "amis" de la Taverna, chez qui nous aurons donc mangé tous les soirs et petit-déjeuné tous les matins. Ce vendredi, plus la peine de se concenter pour demander un lait froid, un lait chaud, et un lait chaud au cacao, un grand café ou un thé vert, c'est limite si tout n'était pas prêt d'avance !
Pour le reste, les seaux de frites, les assiettes "complètes", les méga sandwiches ou encore le chorizo, les olives ou même les pizzas (Valérian a eu un peu de mal au départ à bien différencier les vacances en Italie des vacances en Espagne, c'est plutôt le luxe !), on y retournera avec plaisir ! et nous sommes attendus !
On n'a pas vu beaucoup de crudités, ni rien qui n'ait été frit à un moment où à un autre, mais c'est pas grave !
Avant de rendre les clés de l'appartement, je me réjouis de voir que des moutons du Pays Basque que je cherchais depuis notre arrivée paissaient tranquillement dans le pré de l'autre côté de la route. Salut, les gars, à bientôt !
On prend la route, direction le côté français. Le GPS continuera à nous causer en Espagnol jusqu'à la maison, ça sera marrant. La playlist "kids" tourne en boucle dans l'habitacle, et on tente un stop à St Jean de Luz. Sans compter l'impossibilité de trouver une place pour se garer. Tant pis, il faudra donc définitivement que l'on revienne et c'est comme ça. Quand c'est une question de fatalité, il faut s'incliner!
Nous avions hésité à prendre une nuit supplémentaire à Otxandio, mais finalement, nous optons pour une dernière nuit totalement improvisée aux alentours d'Albi pour couper la route en deux avant de retrouver (Médor). Matthieu s'était occupé de tout, en m'annonçant une jolie surprise. Alors on roule, on roule, et en effet, la surprise est de taille, mon Cher et Tendre a complètement craqué !